Il est dans la nature de l’Homme d’avoir des représentations partout où il se trouve impliqué, là où des sensations surgissent… Chaque individu se construit une sorte de sphère qui constitue un micro cosmos à l’intérieur de laquelle se reconstruit toute son histoire et un horizon qui s’ouvre sur le futur. Il y a dans cette sphère tous les événements de la vie qui gisent comme une immense source de fraîcheur ou de nostalgie. À la surface de cette sphère, les cinq sens dont la conscience interprète quelques messages. L’information se met en connexion avec ce stock d’informations qui gît au creux de la sphère.
L’Image est désormais présente. Elle est cette connexion !
Cette représentation n’est pas forcément visuelle, elle peut s’appuyer sur chacun des cinq sens et elle s’accompagne d’affects puissants. L’Imagothérapie permet donc à la conscience d’atteindre les représentations que nous avons du monde. Et cela suffit à créer une nouvelle interface à la réalité physique environnante. Sur cette base, il devient possible d’opérer indirectement sur de nombreuses pathologies. L’effet thérapeutique n’est pas recherché. Il intervient en plus.
Si l’Imagothérapie est par essence une sorte de méditation active, ses effets psychothérapeutiques sont indéniables. Les effets thérapeutiques de la méditation sont désormais très largement documentés. (Ernesto Varela, Antoine Lutz pour ne citer qu’eux)
L’Imagothérapie ne crée pas de dépendance. L’être demeure libre. J’ai toujours été vigilant sur ce point, soucieux de donner à chacun la possibilité de demeurer autonome. L’Imagothérapie est un média entre la conscience et d’autres instances, c’est en ce sens qu’il faut entendre le suffixe -thérapie. Non pas comme un soin salvateur, libérateur d’une souffrance, mais une communication que chacun est libre de reprendre à son compte comme il l’entend, appuyé par sa motivation et la détermination intérieure à transformer ses propres représentations du monde. L’Imagothérapie est inopérante sur un mode passif.
L’Image est désormais présente. Elle est cette connexion !
Cette représentation n’est pas forcément visuelle, elle peut s’appuyer sur chacun des cinq sens et elle s’accompagne d’affects puissants. L’Imagothérapie permet donc à la conscience d’atteindre les représentations que nous avons du monde. Et cela suffit à créer une nouvelle interface à la réalité physique environnante. Sur cette base, il devient possible d’opérer indirectement sur de nombreuses pathologies. L’effet thérapeutique n’est pas recherché. Il intervient en plus.
Si l’Imagothérapie est par essence une sorte de méditation active, ses effets psychothérapeutiques sont indéniables. Les effets thérapeutiques de la méditation sont désormais très largement documentés. (Ernesto Varela, Antoine Lutz pour ne citer qu’eux)
L’Imagothérapie ne crée pas de dépendance. L’être demeure libre. J’ai toujours été vigilant sur ce point, soucieux de donner à chacun la possibilité de demeurer autonome. L’Imagothérapie est un média entre la conscience et d’autres instances, c’est en ce sens qu’il faut entendre le suffixe -thérapie. Non pas comme un soin salvateur, libérateur d’une souffrance, mais une communication que chacun est libre de reprendre à son compte comme il l’entend, appuyé par sa motivation et la détermination intérieure à transformer ses propres représentations du monde. L’Imagothérapie est inopérante sur un mode passif.